Quarouble et "bou-kak" L'affaire de Quarouble (Nord) est sans doute la plus emblématique de l'ufologie française, avec atterrissage de soucoupe volante et apparition de petits Martiens le 10 septembre 1954, par le témoin Marius Dewilde. Voici, sur cette affaire, la deuxième partie de l'enquête de Marc Thirouin parue dans la revue "Ouranos" n° 25 (1er trimestre 1960), une publication de la Commission d'Enquêtes Scientifiques Ouranos, le premier groupe privé d'enquêtes sur les ovnis en France. Pour l'anecdote, lors de la seconde rencontre de Quarouble du 10 octobre suivant, Dewilde parvient à observer l’intérieur de la soucoupe : "J'étais à 3 mètres de l'appareil et percevais des plaintes sourdes à l'intérieur. Il me sembla entendre répéter : "Boukak… boukak…" En regardant par l'ouverture, je vis deux autres êtres, l'un allongé par terre – je supposai que c'était lui qui gémissait – l'autre debout auprès de lui." Or, selon les notes manuscrites de notre attentif et renseigné lecteur abonné à "Ouranos" (telles qu'inscrites au crayon bleu en marge de ce numéro de la revue), boukak "en vietnamien, c'est phonétiquement, un mot particulièrement grossier !! Dewilde est un ancien marin !!!!". Traduction : le mot « boukak », pour désigner la pratique d'une fellation, était notamment utilisé dans les maisons closes en Indochine (en particulier au cours de l'époque coloniale française, d'où la référence à l'"ancien marin").
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Référence :
20527
Crédit :
coll. Agence Martienne
Titre :
Quarouble et "bou-kak"
Légende :
L'affaire de Quarouble (Nord) est sans doute la plus emblématique de l'ufologie française, avec atterrissage de soucoupe volante et apparition de petits Martiens le 10 septembre 1954, par le témoin Marius Dewilde. Voici, sur cette affaire, la deuxième partie de l'enquête de Marc Thirouin parue dans la revue "Ouranos" n° 25 (1er trimestre 1960), une publication de la Commission d'Enquêtes Scientifiques Ouranos, le premier groupe privé d'enquêtes sur les ovnis en France. Pour l'anecdote, lors de la seconde rencontre de Quarouble du 10 octobre suivant, Dewilde parvient à observer l’intérieur de la soucoupe : "J'étais à 3 mètres de l'appareil et percevais des plaintes sourdes à l'intérieur. Il me sembla entendre répéter : "Boukak… boukak…" En regardant par l'ouverture, je vis deux autres êtres, l'un allongé par terre – je supposai que c'était lui qui gémissait – l'autre debout auprès de lui." Or, selon les notes manuscrites de notre attentif et renseigné lecteur abonné à "Ouranos" (telles qu'inscrites au crayon bleu en marge de ce numéro de la revue), boukak "en vietnamien, c'est phonétiquement, un mot particulièrement grossier !! Dewilde est un ancien marin !!!!". Traduction : le mot « boukak », pour désigner la pratique d'une fellation, était notamment utilisé dans les maisons closes en Indochine (en particulier au cours de l'époque coloniale française, d'où la référence à l'"ancien marin").
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