Les membres de la Société d'études télépathiques fondé au début des années 1920 par René Warcollier (1931) 1/2.
Les membres de la Société d'études télépathiques fondé au début des années 1920 par René Warcollier (1931) 1/2. Suite à l'appel à témoignages qu'il avait lui-même initié, René Warcollier réunit autour de lui une vingtaine de personnes qui acceptèrent de prendre part à une expérimentation méthodique et ce, durant plusieurs années, au siège de l'Institut Métapsychique International (Paris) ou bien dans d'autres lieux. Warcollier créa parallèlement une Société d'Études Télépathiques, dont les locaux se situaient alors dans l'enceinte du prestigieux Hôtel des Sociétés savantes de Paris. Les travaux qui y étaient menés débouchèrent rapidement sur des collaborations internationales, qu'il s'agisse des Etats-Unis avec le groupe du professeur de psychologie Gardner Murphy ou bien de la Grèce avec celui organisé autour d'Angelos Tanagras à Athènes. L'essentiel de l'activité du groupe de Warcollier visait l'expérimentation collective en matière de perception télépathique, recourant alors à l'emploi de cibles, y compris à très grande distance. La télépathie, selon Warcollier, n'était pas une affaire de transmission (au sens de "communication"), mais bien plutôt celle d'un accord (au sens de "communion") : « Il ne s’agit pas, disait-il, de volonté mais d’accord. On n’impose pas sa pensée par la force, mais par la sympathie. L’indifférence affective est absolument inhibitrice, il n’y a pas une complexion télépathique : deux êtres sont accordés ou ne le sont pas. »
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Référence :
17505
Crédit :
coll. IMI / Agence Martienne
Titre :
Les membres de la Société d'études télépathiques fondé au début des années 1920 par René Warcollier (1931) 1/2.
Légende :
Suite à l'appel à témoignages qu'il avait lui-même initié, René Warcollier réunit autour de lui une vingtaine de personnes qui acceptèrent de prendre part à une expérimentation méthodique et ce, durant plusieurs années, au siège de l'Institut Métapsychique International (Paris) ou bien dans d'autres lieux. Warcollier créa parallèlement une Société d'Études Télépathiques, dont les locaux se situaient alors dans l'enceinte du prestigieux Hôtel des Sociétés savantes de Paris. Les travaux qui y étaient menés débouchèrent rapidement sur des collaborations internationales, qu'il s'agisse des Etats-Unis avec le groupe du professeur de psychologie Gardner Murphy ou bien de la Grèce avec celui organisé autour d'Angelos Tanagras à Athènes. L'essentiel de l'activité du groupe de Warcollier visait l'expérimentation collective en matière de perception télépathique, recourant alors à l'emploi de cibles, y compris à très grande distance. La télépathie, selon Warcollier, n'était pas une affaire de transmission (au sens de "communication"), mais bien plutôt celle d'un accord (au sens de "communion") : « Il ne s’agit pas, disait-il, de volonté mais d’accord. On n’impose pas sa pensée par la force, mais par la sympathie. L’indifférence affective est absolument inhibitrice, il n’y a pas une complexion télépathique : deux êtres sont accordés ou ne le sont pas. »
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