"Le Linceul du Christ, étude scientifique" par Paul Vignon, 1902
"Le Linceul du Christ, étude scientifique" par Paul Vignon, 1902 Couverture de cet ouvrage classique sur le Suaire de Turin. "Le Linceul du Christ, étude scientifique" par Paul Vignon (1865-1943), Paris, Masson et Cie, Editeurs, 1902. Paul Vignon était biologiste et professeur adjoint à la Faculté de Philosophie de l’Institut Catholique de Paris (chaire de « psychologie zoologique et introduction à la philosophie biologique"). Les premières photographies du Saint-Suaire ont été réalisées par Secondo Pia en 1898 à Turin. C'est au moment du développement de ces clichés que ce dernier s'est rendu compte que des empreintes laissées sur le tissu du linceul, et jusqu'alors invisibles à l'oeil nu, étaient devenues observables. Paul Vignon est l'un des premiers savants à s'être emparé du sujet. Persuadé du caractère authentique de l'objet, il considérait que les photographies qui en avaient été tirées ne pouvaient être ni des peintures ni une copie faite de main d'homme, mais bien plutôt la trace laissée par les "effluves" du corps du Christ, sorte de rayonnements qui distingueraient, selon Vignon, ces images par une nature singulière, d'ordre "vaporographique", comme il le précisait alors dans son étude.
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Référence :
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18414
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Crédit :
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coll. Agence Martienne
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Titre :
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"Le Linceul du Christ, étude scientifique" par Paul Vignon, 1902
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Légende :
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Couverture de cet ouvrage classique sur le Suaire de Turin. "Le Linceul du Christ, étude scientifique" par Paul Vignon (1865-1943), Paris, Masson et Cie, Editeurs, 1902. Paul Vignon était biologiste et professeur adjoint à la Faculté de Philosophie de l’Institut Catholique de Paris (chaire de « psychologie zoologique et introduction à la philosophie biologique"). Les premières photographies du Saint-Suaire ont été réalisées par Secondo Pia en 1898 à Turin. C'est au moment du développement de ces clichés que ce dernier s'est rendu compte que des empreintes laissées sur le tissu du linceul, et jusqu'alors invisibles à l'oeil nu, étaient devenues observables. Paul Vignon est l'un des premiers savants à s'être emparé du sujet. Persuadé du caractère authentique de l'objet, il considérait que les photographies qui en avaient été tirées ne pouvaient être ni des peintures ni une copie faite de main d'homme, mais bien plutôt la trace laissée par les "effluves" du corps du Christ, sorte de rayonnements qui distingueraient, selon Vignon, ces images par une nature singulière, d'ordre "vaporographique", comme il le précisait alors dans son étude.
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