L'ésotériste et érudit Elyan Cohin de Condé, sous la Pierre-Écrite à Saint-Geniez (04), pierre dite "de Théopolis"
L'ésotériste et érudit Elyan Cohin de Condé, sous la Pierre-Écrite à Saint-Geniez (04), pierre dite "de Théopolis" Etudiant aux Arts et Métiers, Elyan Cohin de Condé (1935 - 2007) eut parmi ses enseignants un certain Jacques Bergier, auteur plus tard du célèbre "Matin des magiciens". A Toulon, il fut vice-président dès 1971 de la Société Varoise d'Etude des Phénomènes Spatiaux (SVEPS), dont il devint responsable de la commission parapsychologie. Proche du Pr René Hardy et de sa famille, il enquêta sur le suicide controversé de celui-ci, retrouvé mort le lundi 12 juin 1972 à 7 h 45 d'une balle dans la tête, sur la terrasse de son appartement du quartier Claret à Toulon. Il démissionna de la SVEPS au printemps 1974 pour monter le Comité d’Études Varois Ouranos en 1976. Entamant là une analyse du phénomène ovni inspirée de Jung, qui s’affinera quelques années plus tard au sein d’un groupe de 7 membres - et bientôt 8 grâce à la participation extérieure de Pierre Viéroudy ["Ces OVNI qui annoncent le surhomme", Tchou, 1977]. Signant ses articles du nom d’Hepta dans "La Revue des Soucoupes Volantes" de Michel Moutet, le groupe traitera le plus grand cas de "contacté" français (Jean Pezin). Ce fut ensuite la création du Club HERMES à Sisteron en 1981, qui entretenait les meilleurs rapports avec l’IMSA, l'association de Roger Luc Mary, Jimmy Guieu et Alain Le Kern… Proche du "Dr X" (témoin d'une célèbre affaire d'ovni révélée par Aimé Michel dans la "Flying Saucer Review"), il se retrouva à Manosque où, continuant sa réflexion sur l’alchimie intérieure qu’il vivait au quotidien, depuis si longtemps - à cause de ses 4 cancers (en 40 ans) -, il débouchera sur une architecture christique, trans-spatiale, et johannite.
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Référence :
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18381
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Crédit :
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coll. Michel Moutet / Agence Martienne
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Titre :
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L'ésotériste et érudit Elyan Cohin de Condé, sous la Pierre-Écrite à Saint-Geniez (04), pierre dite "de Théopolis"
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Légende :
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Etudiant aux Arts et Métiers, Elyan Cohin de Condé (1935 - 2007) eut parmi ses enseignants un certain Jacques Bergier, auteur plus tard du célèbre "Matin des magiciens". A Toulon, il fut vice-président dès 1971 de la Société Varoise d'Etude des Phénomènes Spatiaux (SVEPS), dont il devint responsable de la commission parapsychologie. Proche du Pr René Hardy et de sa famille, il enquêta sur le suicide controversé de celui-ci, retrouvé mort le lundi 12 juin 1972 à 7 h 45 d'une balle dans la tête, sur la terrasse de son appartement du quartier Claret à Toulon. Il démissionna de la SVEPS au printemps 1974 pour monter le Comité d’Études Varois Ouranos en 1976. Entamant là une analyse du phénomène ovni inspirée de Jung, qui s’affinera quelques années plus tard au sein d’un groupe de 7 membres - et bientôt 8 grâce à la participation extérieure de Pierre Viéroudy ["Ces OVNI qui annoncent le surhomme", Tchou, 1977]. Signant ses articles du nom d’Hepta dans "La Revue des Soucoupes Volantes" de Michel Moutet, le groupe traitera le plus grand cas de "contacté" français (Jean Pezin). Ce fut ensuite la création du Club HERMES à Sisteron en 1981, qui entretenait les meilleurs rapports avec l’IMSA, l'association de Roger Luc Mary, Jimmy Guieu et Alain Le Kern… Proche du "Dr X" (témoin d'une célèbre affaire d'ovni révélée par Aimé Michel dans la "Flying Saucer Review"), il se retrouva à Manosque où, continuant sa réflexion sur l’alchimie intérieure qu’il vivait au quotidien, depuis si longtemps - à cause de ses 4 cancers (en 40 ans) -, il débouchera sur une architecture christique, trans-spatiale, et johannite.
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