L'affaire du "Martien" de Prémanon, 27 septembre 1954.
L'affaire du "Martien" de Prémanon, 27 septembre 1954. Lors de la vague de soucoupes volantes de l’automne 1954, l'une des nombreuses affaires de rencontres rapprochées avec un "Martien" se déroule à Prémanon, dans le Jura français, au soir du 27 septembre. Selon les diverses sources, quatre enfants se retrouvent aux abords de la grange familiale face à un "fantôme" en forme de "morceau de sucre". Le plus âgé, Raymond, 12 ans, brandit courageusement son pistolet "Eureka" à fléchettes et lui tire dessus, avant de se retrouver couché au sol par "une pression glaciale". Alors que les enfants s'enfuient, une "boule de feu" oscille doucement, dans un champ à 150 m de là. L’affaire est prise très au sérieux : pas moins de deux enquêtes de Gendarmerie sont diligentées. Ici à l'image, Raymond est interrogé par le Capitaine Brustel, lequel relève des traces au sol dans la direction indiquée par les enfants. Puis les journalistes arrivent sur place ; l'impact médiatique est énorme, international même. Curieusement, une lecture attentive des coupures de presse montre que Raymond n'utilise jamais la terminologie ufologique, il n'évoque ni Martien, ni soucoupe ! Ce sont les adultes qui utilisent ces termes. Retrouvé 30 ans plus tard lors de notre contre-enquête sur cette affaire, Raymond, devenu chercheur scientifique, confirme avoir toujours utilisé le terme de "fantôme". La jeune institutrice du village ayant demandé aux élèves de rédiger une rédaction à thème libre, Raymond avait imaginé une histoire de spectre effrayant les enfants, sur le modèle du berger à la grande cape qui venait ce soir-là de quitter la ferme familiale, avec son troupeau de vaches suisses en transhumance : "J'ai inventé une histoire selon laquelle ce berger suisse nous aurait fait peur, mais je dis bien je l'ai inventée. Il avait une grande cape et pouvait avoir l'allure d'un fantôme." La maîtresse d'école prend le récit au sérieux, en avise son époux ; lui-même intéressé par le sujet des soucoupes en parle à un ami journaliste... Si l'affaire n'avait pas précisément eu lieu lors de la plus grande vague française de soucoupes volantes, sans doute figurerait-elle en bonne place dans les registres d'apparitions de fantômes... Voir aussi les images 19514 et 19516. coll. Fonds SCEAU Archives OVNI / AM
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L'affaire du "Martien" de Prémanon, 27 septembre 1954.
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Lors de la vague de soucoupes volantes de l’automne 1954, l'une des nombreuses affaires de rencontres rapprochées avec un "Martien" se déroule à Prémanon, dans le Jura français, au soir du 27 septembre. Selon les diverses sources, quatre enfants se retrouvent aux abords de la grange familiale face à un "fantôme" en forme de "morceau de sucre". Le plus âgé, Raymond, 12 ans, brandit courageusement son pistolet "Eureka" à fléchettes et lui tire dessus, avant de se retrouver couché au sol par "une pression glaciale". Alors que les enfants s'enfuient, une "boule de feu" oscille doucement, dans un champ à 150 m de là. L’affaire est prise très au sérieux : pas moins de deux enquêtes de Gendarmerie sont diligentées. Ici à l'image, Raymond est interrogé par le Capitaine Brustel, lequel relève des traces au sol dans la direction indiquée par les enfants. Puis les journalistes arrivent sur place ; l'impact médiatique est énorme, international même. Curieusement, une lecture attentive des coupures de presse montre que Raymond n'utilise jamais la terminologie ufologique, il n'évoque ni Martien, ni soucoupe ! Ce sont les adultes qui utilisent ces termes. Retrouvé 30 ans plus tard lors de notre contre-enquête sur cette affaire, Raymond, devenu chercheur scientifique, confirme avoir toujours utilisé le terme de "fantôme". La jeune institutrice du village ayant demandé aux élèves de rédiger une rédaction à thème libre, Raymond avait imaginé une histoire de spectre effrayant les enfants, sur le modèle du berger à la grande cape qui venait ce soir-là de quitter la ferme familiale, avec son troupeau de vaches suisses en transhumance : "J'ai inventé une histoire selon laquelle ce berger suisse nous aurait fait peur, mais je dis bien je l'ai inventée. Il avait une grande cape et pouvait avoir l'allure d'un fantôme." La maîtresse d'école prend le récit au sérieux, en avise son époux ; lui-même intéressé par le sujet des soucoupes en parle à un ami journaliste... Si l'affaire n'avait pas précisément eu lieu lors de la plus grande vague française de soucoupes volantes, sans doute figurerait-elle en bonne place dans les registres d'apparitions de fantômes... Voir aussi les images 19514 et 19516. coll. Fonds SCEAU Archives OVNI / AM
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