Sorcière soumise à la torture. «Au moyen âge», accusée de sorcellerie, une femme subit la torture sans signe apparent de douleur. Selon une règle de jurisprudence, l'insensibilité à la torture (attribuée à des sortilèges et à la protection du diable) était considérée comme un signe certain de sorcellerie. Gravure d'après E. Deschamps, XIXe siècle, 1868. Selon le vulgarisateur scientifique Louis Figuier (1819-1894), «au moyen âge, l'art de préparer avec les plantes stupéfiantes des breuvages somnifères était, comme on le sait, poussé fort loin. On connaissait en outre quelques substances narcotiques qui avaient la propriété d'abolir la sensibilité».
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Référence :
2390
Crédit :
coll. Agence Martienne
Titre :
Sorcière soumise à la torture.
Légende :
«Au moyen âge», accusée de sorcellerie, une femme subit la torture sans signe apparent de douleur. Selon une règle de jurisprudence, l'insensibilité à la torture (attribuée à des sortilèges et à la protection du diable) était considérée comme un signe certain de sorcellerie. Gravure d'après E. Deschamps, XIXe siècle, 1868. Selon le vulgarisateur scientifique Louis Figuier (1819-1894), «au moyen âge, l'art de préparer avec les plantes stupéfiantes des breuvages somnifères était, comme on le sait, poussé fort loin. On connaissait en outre quelques substances narcotiques qui avaient la propriété d'abolir la sensibilité».
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