L'alphabet martien. Reconstitution de l'alphabet martien du médium suisse Hélène Smith, de son vrai nom Catherine Élise Müller (1861-1929). 1900 : le psychiatre suisse Théodore Flournoy publie un livre sur Hélène Smith, laquelle décrit ses voyages astraux sur la planète Mars. Au cours de ses transes, Hélène Smith rencontre des Martiens, comme Astané, réincarnation sur Mars d'un fakir hindou. Elle peint les paysages et la faune de Mars. Elle écrit aussi en martien. Occasion pour nous d'apprendre les langues (vraiment) étrangères. Ainsi : lassuné ké nipuné ani tis dé machir mirivé iche manir sé dé évenir toué chi amiché zé forimé ti viche tarviné. Que l'on traduit par : «Approche, ne crains pas ; bientôt tu pourras tracer notre écriture, et tu posséderas dans tes mains les marques de notre langage». Sans doute sceptique, Flournoy parlait d'hallucinations verbo-auditives. Il notait aussi que «par bonheur, le martien, en dépit de ses apparences étranges et des cinquante millions de lieues qui nous séparent bon an mal an de la rouge planète, est au fond si proche voisin du français que cette entreprise [sa traduction] n'offre guère de difficultés».
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Référence :
7784
Crédit :
coll. Agence Martienne
Titre :
L'alphabet martien.
Légende :
Reconstitution de l'alphabet martien du médium suisse Hélène Smith, de son vrai nom Catherine Élise Müller (1861-1929). 1900 : le psychiatre suisse Théodore Flournoy publie un livre sur Hélène Smith, laquelle décrit ses voyages astraux sur la planète Mars. Au cours de ses transes, Hélène Smith rencontre des Martiens, comme Astané, réincarnation sur Mars d'un fakir hindou. Elle peint les paysages et la faune de Mars. Elle écrit aussi en martien. Occasion pour nous d'apprendre les langues (vraiment) étrangères. Ainsi : lassuné ké nipuné ani tis dé machir mirivé iche manir sé dé évenir toué chi amiché zé forimé ti viche tarviné. Que l'on traduit par : «Approche, ne crains pas ; bientôt tu pourras tracer notre écriture, et tu posséderas dans tes mains les marques de notre langage». Sans doute sceptique, Flournoy parlait d'hallucinations verbo-auditives. Il notait aussi que «par bonheur, le martien, en dépit de ses apparences étranges et des cinquante millions de lieues qui nous séparent bon an mal an de la rouge planète, est au fond si proche voisin du français que cette entreprise [sa traduction] n'offre guère de difficultés».
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