Monument commémorant la première traversée aérienne de la Méditerranée en 1886, vue de profil.
A Marseille, dans le quartier de la Plaine, face à la terrasse du café Au Petit Nice, voici le monument dédié à l'inventeur et aéronaute français Louis Capazza (1862 - 1928) et à son compère Alphonse Fondère (1865 - 1930), représentés ici en bas-relief. Dû au sculpteur Louis Botinelly et l'architecte Gaston Castel, il rend hommage à l'entreprise courageuse de ces deux jeunes aérostiers partis à bord du ballon sphérique "Le Gabizos" depuis cette place de la Plaine Saint-Michel (actuellement place Jean-Jaurès), et "qui le 14 novembre 1886 réalisèrent la première traversée aérienne de la Méditerranée", entre Marseille et Appietto en Corse (300 km). Effectuée par fort vent, cette première traversée de la Méditerranée, effectuée nuitamment dans des conditions périlleuses, dura 5 h 30. Voir aussi images 2587, 3891, 3892, 4676 + 18746 à 18749.

Monument commémorant la première traversée aérienne de la Méditerranée en 1886, détail du bas-relief.
A Marseille, dans le quartier de la Plaine, face à la terrasse du café Au Petit Nice, détail du monument dédié à l'inventeur et aéronaute français Louis Capazza (1862 - 1928) et à son compère Alphonse Fondère (1865 - 1930), représentés ici en bas-relief. Dû au sculpteur Louis Botinelly et l'architecte Gaston Castel, il rend hommage à l'entreprise courageuse de ces deux jeunes aérostiers partis à bord du ballon sphérique "Le Gabizos" depuis cette place de la Plaine Saint-Michel (actuellement place Jean-Jaurès), et "qui le 14 novembre 1886 réalisèrent la première traversée aérienne de la Méditerranée", entre Marseille et Appietto en Corse (300 km). Effectuée par fort vent, cette première traversée de la Méditerranée, effectuée nuitamment dans des conditions périlleuses, dura 5 h 30. Voir aussi images 2587, 3891, 3892, 4676 + 18746 à 18749.

Monument commémorant la première traversée aérienne de la Méditerranée en 1886, détail.
A Marseille, dans le quartier de la Plaine, face à la terrasse du café Au Petit Nice, détail du monument dédié à l'inventeur et aéronaute français Louis Capazza (1862 - 1928) et à son compère Alphonse Fondère (1865 - 1930). Dû au sculpteur Louis Botinelly et l'architecte Gaston Castel, il rend hommage à l'entreprise courageuse de ces deux jeunes aérostiers partis à bord du ballon sphérique "Le Gabizos" depuis cette place de la Plaine Saint-Michel (actuellement place Jean-Jaurès), et "qui le 14 novembre 1886 réalisèrent la première traversée aérienne de la Méditerranée", entre Marseille et Appietto en Corse (300 km). Effectuée par fort vent, cette première traversée de la Méditerranée, effectuée nuitamment dans des conditions périlleuses, dura 5 h 30. Voir aussi images 2587, 3891, 3892, 4676 + 18746 à 18749.

Monument commémorant la première traversée aérienne de la Méditerranée en 1886, vue de face
A Marseille, dans le quartier de la Plaine, face à la terrasse du café Au Petit Nice, voici le monument dédié à l'inventeur et aéronaute français Louis Capazza (1862 - 1928) et à son compère Alphonse Fondère (1865 - 1930), représentés ici en bas-relief. Dû au sculpteur Louis Botinelly et l'architecte Gaston Castel, il rend hommage à l'entreprise courageuse de ces deux jeunes aérostiers partis à bord du ballon sphérique "Le Gabizos" depuis cette place de la Plaine Saint-Michel (actuellement place Jean-Jaurès), et "qui le 14 novembre 1886 réalisèrent la première traversée aérienne de la Méditerranée", entre Marseille et Appietto en Corse (300 km). Effectuée par fort vent, cette première traversée de la Méditerranée, effectuée nuitamment dans des conditions périlleuses, dura 5 h 30. Voir aussi images 2587, 3891, 3892, 4676 + 18746 à 18749.

Les ballons dirigeables. Les expériences de M. Santos-Dumont.
"Les ballons dirigeables. Les expériences de M. Santos-Dumont", ici devant la Tour Eiffel in "Le Petit Parisien" n° 651 du 28 juillet 1901.

Le ballon dirigeable République.
Le dirigeable République in "Le Petit Journal" n° 931 du 20 septembre 1908.

"Future Honey Moon", lune de miel du futur
Plusieurs couples en voyage de noce aérien (dont un en ballon à gaz). Illustration de Otake Chikuha (1878 – 1936), peintre et estampiste, titrée "Voyage de noce du futur" (Miraï no shinkon ryoko).

Le statoréacteur Leduc 0-10.
Dû à l'ingénieur français René Leduc, le Leduc 0-10 est le premier statoréacteur de l'histoire de l'aéronautique. «Espoir de l'aviation française», comme le titrait Aviation Magazine du 1er juin 1951, l'appareil - incapable de décoller de lui-même - doit être porté par un avion-mère, puis largué en altitude.

L'ours spatial dans sa cabine d'éjection.
Avec cette illustration de Walter Molino, "La Domenica del Corriere" explique en substance à ses lecteurs, en avril 1962, qu'après "l'envoi dans l'espace de souris, singes, petits chiens, et hommes, même l'ours a été le sujet d'essais. Un bombardier américain B-58 partit depuis la base d'Edwards en Californie, volant à 900 km/h et à une altitude de 6000 mètres, a expulsé sur le désert du Mojave une capsule avec à son bord un ours âgé de 2 ans. Grâce au parachute, l'animal a touché terre sain et sauf. Le plantigrade a été utilisé par les scientifiques à cause de ses affinités anatomiques avec l'homme." Le B-58 était en effet équipé de capsules d'éjection pour chaque membre de l'équipage. À la différence des sièges éjectables, une protection se déploie et ferme le siège de manière étanche. Des chimpanzés et des ours ont été utilisés pour tester le dispositif. Vue en éclaté.

Fantaisie aéronautique en 1922.
Fantaisie aéronautique en 1922 pour les «trois fameux lascars» (Grosnavet, Gourdiflot, Lahurec) in Le Petit Marseillais, 20 août 1922.

«Coléoptère» ou soucoupe volante ?
Avion à aile circulaire et à décollage vertical, le «Coléoptère» est dû à l'imagination de Helmut von Zborowski, un ingénieur autrichien ayant travaillé à Peenemünde sur les V1 et V2, transfuge de l'Allemagne nazie récupéré par la France. Un seul prototype fut construit en 1959, mais échoua aux essais, après un vol à 900 m d'altitude. Point de vue - Images du monde (du 25 février 1956) se demande si «l'engin mystérieux» repéré dans la nuit du 17 au 18 février 1956 sur le radar d'Orly peut être causé par un appareil français de ce genre.

Avion-parachute
"Je Sais Tout" du 15 décembre 1924 titre sur "L'avion-parachute du Capitaine Lepinte". Rien de plus simple que son principe : en cas de pépin, le pilote actionne un bouton et provoque par déverrouillage l'éjection des ailes et du moteur de l'avion (voir en bas à gauche de l'illustration), ainsi que le déploiement du parachute. L'avion se transforme instantanément en un gigantesque parapluie volant. Un astucieux mécanisme permet aux sièges, articulés autour de l'arbre central, de se retrouver en bonne position verticale propre à assurer un maximum de confort aux passagers lors de la descente au sol (juste avant le fort périlleux atterrissage qui ne va pas manquer de s'ensuivre...).

A nous l'espace !
A l'orée du nouveau siècle, et avant même le premier vol des frères Wright, présentation satirique de la conquête de l'espace en ballon : «À nous l'espace !», n° spécial de l'Assiette au Beurre, 14 décembre 1901 (illustration A. Guillaume).

Avions de type Mirage 2000c-5 avec tir de missile.
Deux avions de type Mirage 2000c-5 avec tir de missile. Illustration originale d'Eric Seigaud (2001). © 2001 Eric Seigaud / Agence Martienne

Avions de type Mirage 2000c-5.
Deux avions de type Mirage 2000c-5 équipés de missiles. Illustration originale d'Eric Seigaud (2001). © 2001 Eric Seigaud / Agence Martienne

Mirage1
Deux avions Mirage 2000c-5, volant en formation, équipés de missiles. Illustration originale d'Eric Seigaud (2001). © 2001 Eric Seigaud / Agence Martienne

«Appareil de Deghen pour la direction des ballons», 1812.
En 1812 à Paris, Deghen tenta de faire voler un appareil doté d'un petit ballon pour la sustentation et de deux ailes pour le déplacement horizontal. Echec complet. «Appareil de Deghen pour la direction des ballons», illustration pour Les naufrages aériens par Albert Laporte, Guérin, s. d. [après 1885].

Tableau des principales machines aériennes imaginées depuis 1748 jusqu'à nos jours.
Gravure par E. Morieu pour Le Journal des Voyages 15 août 1886. Adaptation du texte de W. de Fonvielle «Les toqués de la navigation aérienne. - Tableau des principales machines aériennes imaginées depuis 1748 jusqu'à nos jours.» Un panorama de quarante-cinq engins volants - ou prévus à cette fin - issus des rêves d'anticipateurs et d'ingénieurs, des plus fous ou plus raisonnables ; mais la raison n'est point ici une garantie de succès. À remarquer, au sein de cette invraisemblable collection, quelques cigares volants et au moins une très authentique soucoupe volante (n° 34), en réalité un «ballon accordéon» conçu par l'inventeur et aéronaute français Louis Capazza (1862 - 1928). Voir aussi images 2587, 3891, 3892.

Les mystères de Mars à portée de ballon...
Les mystères de Mars à portée de ballon... Afin de s'affranchir des perturbations dues à l'atmosphère, l'astronome Audouin Dollfus s'envole à 6850 m d'altitude pour observer Mars au télescope, alors éloignée de 64 millions de km de la Terre (Radar, juin 1954).