Sous les étoiles filantes
Soirée romantique en galante compagnie, sous les étoiles filantes. Chromolithographie début de XXe siècle.

A Paris, l'attente de la comète de Halley, mai 1910
«Les toits de Paris transformés en observatoires» à l'occasion du passage de la comète de Halley en 1910 - "Le Petit Parisien" du 15 mai 1910.

Au télescope, la géographie martienne...
Dans le ciel nocturne, un grand télescope est braqué sur la Planète rouge : «Examinant avec soin la planète rapprochée, l'astronome distingue et dessine les continents, les rivages, les îles de la géographie de Mars...» (1884).

Portrait de Isaac Newton.
Portrait de Isaac Newton (1642 - 1727).

Portrait de Camille Flammarion.
Portrait de Camille Flammarion (1842-1925), tout à la fois astronome, vulgarisateur scientifique, métapsychiste.

Portrait de Galilée.
Portrait de Galileo Galilei, dit Galilée (1564-1642), mesurant le grossissement de sa lunette qu'il fabriqua en 1609, avec laquelle il découvrit les 4 principaux satellites de Jupiter (dits galiléens), les anneaux de Saturne, les phases de Vénus et la rotation du Soleil (gravure, 1891).

Portrait de Nicolas Copernic
Portrait de Nicolas Copernic (1473-1543).

La mesure du temps
"On entend passer les étoiles" titre "Je Sais Tout" du 15 septembre 1924. L'illustration de couverture de Léon Tauret montre la marche des ondes lumineuses dans le télescope et leur transformation en courant électrique. Dérivé de la TSF et mis au point à l'Observatoire de Paris par l'ingénieur et général Gustave Ferrié (1868 - 1932) - membre de l'Académie des sciences et l'un des pères de la télégraphie sans fil (TSF) -, ce nouveau processus permettait pour la première fois d'enregistrer automatiquement le passage d'une étoile et donc d'affiner beaucoup plus précisément qu'auparavant la mesure du temps, longtemps basée sur les mesures astronomiques, en supprimant les aléas de l'intervention humaine (notre image).

The Sleepwalkers
«The Sleepwalkers: A History of Man's Changing Vision of the Universe» (Hutchinson, 1959), jaquette du livre d'Arthur Koestler (1905-1983). Tr. fr. Les Somnambules (Calmann-Lévy, 1960).

A travers l'atmosphère de Titan, III
Différents phénomènes physico-chimiques, météorologiques (foudre, photométéores...) se produisent dans l'atmosphère glauque et nuageuse de Titan, le plus gros satellite de Saturne. Une interprétation artistique d'Éric Seigaud. © 2005 Eric Seigaud / Agence Martienne

A travers l'atmosphère de Titan, II.
Différents phénomènes physico-chimiques, météorologiques (foudre, photométéores...) se produisent dans l'atmosphère épaisse et humide -  composée notamment de méthane  - de Titan, le plus gros satellite de Saturne. Une interprétation artistique d'Éric Seigaud. © 2005 Eric Seigaud / Agence Martienne

A travers l'atmosphère de Titan, I.
Saturne apparaissant à travers l'atmosphère épaisse -  composée notamment de méthane  - de son plus gros satellite Titan. Une illustration d'Éric Seigaud. © 2005 Eric Seigaud / Agence Martienne

Sonde spatiale en phase d'approche de Saturne.
Sonde spatiale en phase d'approche de Saturne. Illustration d'Éric Seigaud. © 2005 Eric Seigaud / Agence Martienne

Sonde spatiale survolant une lune de Saturne.
Sonde spatiale survolant une lune de Saturne. Illustration d'Éric Seigaud. © 2005 Eric Seigaud / Agence Martienne

Portrait de Camille Flammarion.
Portrait de Camille Flammarion (1842-1925), tout à la fois astronome, vulgarisateur scientifique, métapsychiste et à ce titre membre à sa fondation en 1919 du comité directeur de l'Institut métapsychique international, l'IMI. Collection de l'Institut Métapsychique International (IMI).

Initiation à l'astronomie.
Observation à la lunette lors du transit de Vénus devant l'astre solaire, le 8 juin 2004 (journée portes ouvertes à l'Observatoire de Marseille).

Sous l'oeil du télescope, médiation scientifique.
Journée portes ouvertes à l'Observatoire de Marseille, lors du transit de Vénus devant l'astre solaire, le 8 juin 2004.

Photographie astronomique.
Photographie astronomique à l'Observatoire de Marseille, lors du transit de Vénus devant l'astre solaire, le 8 juin 2004. L'appareil est équipé d'un filtre spécial, de type Astrosolar.

Transit de Vénus.
Le transit de Vénus, le 8 juin 2004. Evénement rarissime, c'est le premier passage de Vénus devant devant l'astre solaire depuis 1882 (aucun passage au cours du XXe siècle).

Transit de Vénus.
Début du transit de Vénus devant l'astre solaire, le 8 juin 2004 (point de contact).

Vue d'artiste de Saturne.
Vue d'artiste - signée Eric Seigaud - de la planète Saturne, avec moult anneaux et satellites. © 2001 Eric Seigaud / Agence Martienne

Neptune et quelques-uns de ses 11 satellites.
Neptune et quelques-uns de ses 11 satellites. C'est aux calculs d'Urbain Le Verrier (1811-1877) que l'on doit la découverte de la planète en 1846. © 2001 Eric Seigaud / Agence Martienne

Représentation de la planète Jupiter depuis Europe.
La planète Jupiter, avec sa fameuse tache rouge, vue depuis Europe, l'un des très nombreux satellites joviens, découvert par Galilée en 1610. Comme Callisto, Europe possède de grande quantité d'eau salée, sous une épaisse banquise. © 2001 Eric Seigaud / Agence Martienne

Pluie d'étoiles filantes observée par un astronome de la Renaissance.
Une pluie d'étoiles filantes observée par un astronome de la Renaissance. Détail d'une chromolithographie pour des vignettes publicitaires à collectionner, début XXe siècle. Détail de la réf. 01125.

Pluie d'étoiles filantes.
Chromolithographie représentant la pluie d'étoiles filantes du 27 novembre 1872.

Astronome observant une éclipse de Lune.
Astronome observant une éclipse de Lune au moyen d'une lunette astronomique, début XVIIIe siècle (chromolithographie pour des vignettes publicitaires à collectionner, début de XXe siècle). Détail de la réf. 3326.

Observation de la Lune à la lunette.
Astronome en robe de chambre observant la Lune à la lunette (image d'Épinal extraite d'une planche (réf. 6403) : Pellerin, imprimeur-libraire à Épinal).

Portrait de Camille Flammarion.
Portrait de l'astronome Camille Flammarion (1842-1925) par H. Pochy, s. d., un des premiers vulgarisateur scientifique (Les Terres du ciel, L'Astronomie populaire), écrivain de science-fiction astronomique et poétique (Lumen, Récits de l'Infini), explorateur de l'envers du monde (on lui doit aussi un ouvrage sur les maisons hantées).

«Les Terres du ciel»
Premier plat de «Les Terres du ciel» de Camille Flammarion, éd. toile bleue et dorure à chaud, Didier, 1877.

Arago et Le Verrier.
Dessin illustrant les progrès techniques dans différents domaines (TSF, mécanique, électricité...). Arago (1786 - 1853) s'intéressa à la chromosphère solaire, la vitesse du son, la réfraction des gaz et l'électromagnétisme. Le Verrier (1811 - 1877) détermina les éléments de l'orbite de Neptune, qu'il découvrit le 31 août 1846. Ils furent tour à tour directeur de l'Observatoire de Paris. Almanach Scientifique 1924. Paris, Éd. Sciences et Voyages.

Isaac Newton. Eclipse de Lune.
Isaac Newton (1642 - 1727) - observation d'une éclipse de Lune, au moyen d'une lunette astronomique, début XVIIIe siècle (chromolithographie pour des vignettes publicitaires à collectionner, début de siècle).

Cosmologie aristotélicienne.
Système géocentrique du monde représenté dans Iter Extaticum (Voyages extatiques) d'Athanase Kircher, 1671. Selon le modèle aristotélicien, les éléments les plus lourds - la terre et l'eau - convergent vers le centre du monde, lequel coïncide avec le centre de la Terre (ils y «tombent») ; alors que les plus légers - l'air et le feu - s'en éloignent (ils «montent»), confinés aux régions supra-lunaires. L'univers est ainsi un seul et unique monde composé d'un «lieu naturel» terrestre, s'étendant jusqu'à la Lune et de «lieus naturels» célestes, au-delà de la Lune, celui des «astres errants» (les planètes), puis enfin des étoiles fixes représentant la circonférence extérieure du cosmos.

Le système du monde de Copernic.
Le système du monde de Nicolas Copernic, d'après Harmonia Macrocosmica d'André Cellarius, 1660.

Le système du monde de Ptolémée.
Le système du monde de Ptolémée, d'après Harmonia Macrocosmica d'André Cellarius, 1660 : la Terre (au centre) et les sept planètes (septem orbes planetarum), chacune d'entre elles étant représentée sous forme d'un dieu conduisant son char. Au-delà : la sphère des étoiles fixes.

Cosmologie copernicienne.
Le système du monde de Nicolas Copernic, d'après Harmonia Macrocosmica d'André Cellarius, 1660.

Cosmologie aristotélicienne.
Cosmologie aristotélicienne : système géocentrique du monde et sphère armillaire représentés dans Iter Extaticum (Voyages extatiques) d'Athanase Kircher, 1671. Selon le modèle aristotélicien, les éléments les plus lourds - la terre et l'eau - convergent vers le centre du monde, lequel coïncide avec le centre de la Terre (ils y «tombent») ; alors que les plus légers - l'air et le feu - s'en éloignent (ils «montent»), confinés aux régions supra-lunaires. L'univers est ainsi un seul et unique monde composé d'un «lieu naturel» terrestre, s'étendant jusqu'à la Lune et de «lieus naturels» célestes, au-delà de la Lune, celui des «astres errants» (les planètes), puis enfin des étoiles fixes représentant la circonférence extérieure du cosmos.

Météore traversant le ciel nocturne.
Illustration du XIXe siècle représentant la chute d'un météore.

Chute d'un possible météore dans la mer.
Représentation de la chute d'un possible météore dans la mer pour un récit d'aventure destiné à la jeunesse (L'Intrépide, 1911).

Arago et la chute d'un aérolithe
L'astronome François Arago (1786-1853) et la "chute d'un aérolithe en plein midi", (chromolithographie pour Liebig, début de siècle).

William Herschel et la comète de 1831.
William Herschel et la comète de 1831 sur une chromolithographie début de siècle éditée par Liebig.

Les phases de la lune.
Représentation des différentes phases de la lune dans l'ouvrage du père jésuite Athanase Kircher : Ars Magna, Lucis et Umbræ, 1671.

Différents systèmes cosmologiques.
Différents systèmes cosmologiques, de Ptolémée à Copernic, dans Iter Extaticum (1671) du père jésuite Athanase Kircher. A noter : - figures I à VI : le cercle extérieur représente la sphère des étoiles fixes, délimitant un univers fermé sur lui-même ; - en figure III, le système dit «égyptien», en fait de Héraclide (v. 388-312 av. J.-C.), est un système semi-héliocentrique dans lequel les planètes inférieures (Mercure et Vénus) tournent (déjà !) autour du Soleil ; - en figure IV, le système du monde de Tycho Brahe (1546-1601) est clairement un compromis entre géocentrisme et héliocentrisme : les planètes tournent bien autour du Soleil, à l'exception notable de la Terre, (encore !) au centre du système et autour de laquelle orbite la Lune et... le Soleil !

Et pourtant elle tourne...
Galilée, à genoux, la main sur les Évangiles, renonçant à l'hérésie du mouvement de la Terre (Rome, le 22 juin 1633).

La découverte d'Uranus par Herschel.
L'astronome britannique William Herschel (1738-1822) découvrant la planète Uranus en 1781.

Isaac Newton sous le pommier.
Isaac Newton (1642 - 1727) rêvassant sous un certain pommier...

Giordano Bruno sur le bûcher.
Giordano Bruno, sur le bûcher, brûlé vif à Rome le 17 février 1600.

Galileo Galilei, dit Galilée.
Gravure de Galileo Galilei, dit Galilée (1564-1642), physicien, mathématicien et astronome italien, publiée par Flammarion, «présentant la première lunette astronomique au doge de Venise» .

Nicolas Copernic observant une pluie d'étoiles filantes.
Portrait de Nicolas Copernic (1473 - 1543) - astronome de la Renaissance observant une pluie d'étoiles filantes (chromolithographie pour des vignettes publicitaires à collectionner, début de siècle).

L'astronome allemand Johannes Kepler.
L'astronome allemand Johannes Kepler (1571-1630) - éclipse de soleil (chromolithographie pour Liebig, début de siècle).

Nicolas Copernic
Nicolas Copernic (1473-1543) sur une chromolithographie, début de XXe siècle (avec autographe).

Galilée adolescent.
Galilée adolescent (chromolithographie publicitaire, début XXe siècle).

Statue de Galilée.
Statue de Galilée dans la tribune de l'Université de Florence (gravure de Rousseau selon Meaulle).

Johannes Kepler.
L'astronome allemand Johannes Kepler (1571-1630) : ses travaux de mécanique céleste aboutirent à la formulation des fameuses lois de Kepler décrivant des orbites elliptiques et non plus circulaires aux corps célestes. Gravure de Rousseau selon Meaulle, d'après le portrait qui existait au séminaire protestant de Strasbourg et qui fut brûlé dans l'incendie de la bibliothèque, lors du siège de Strasbourg en 1870.

Kepler et Tycho Brahe à l'Observatoire de Prague.
Kepler et Tycho Brahe à l'Observatoire de Prague, en 1600.

Observatoire astronomique de Tycho Brahe.
Réalisé en 1580, l'observatoire astronomique de Tycho Brahe (Palais d'Uraniebourg, île d'Hueno, près de Copenhague) était le plus important de son temps.

Portrait de Galileo Galilei, dit Galilée.
Portrait de Galileo Galilei, dit Galilée (1564-1642), physicien, mathématicien et astronome italien. Grâce à la lunette qu'il fabriqua en 1609, il découvrit les 4 principaux satellites de Jupiter (dits galiléens), les anneaux de Saturne, les phases de Vénus et la rotation du Soleil. Gravure d'Audibran publiée par Furne.

Claude Ptolémée (90-168) à l'Observatoire d'Alexandrie.
L'Astronome grec Claude Ptolémée (90-168) à l'Observatoire d'Alexandrie. Auteur de l'Almageste, sa représentation géocentrique du monde perdurera jusqu'à la Renaissance.

"Crème éclipse", publicité "astronomique" pour du cirage
Carte postale début de XXe siècle. Réclame dans l'air du temps pour une marque de cirage à la cire... "Crème éclipse", un cirage produit par la Société générale des cirages français créée en 1881.

Copernic observant une éclipse de Lune.
A Rome, Copernic observant une éclipse de Lune, à la lunette. Gravure XIXe siècle.

Eclipse totale du soleil du 11 août 1999.
Phase partielle de l'éclipse totale du soleil du 11 août 1999, photo prise dans la bande de centralité, au sud de l'Allemagne. Caractéristiques techniques de la prise de vue : pellicule Provia 100 ISO, 1/30e sec à 11, focale 800 mm, filtre Astrosolar + filtre orange.